"Ici, tout a été reconstruit, sans nuances ni caractère, avec la seule nécessité d'être fonctionnel et rapide. Plus rien n'est beau, plus rien n'est patiné. L'histoire a disparu dans les gravats. Et finalement, cette modernité sans charme est la trace la plus horrible de la dévastation."
Laurent Gaudé, La Porte des Enfers, Actes Sud, Babel, 2011, p.109.
Laurent Gaudé, La Porte des Enfers, Actes Sud, Babel, 2011, p.109.
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